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mercredi 24 octobre 2007

Egaux ou pas ?

Il y a une quinzaine d’années l’ère Internet devait mettre tout le monde à égalité, puisque chacun devient émetteur d’une information et ne subit plus l’information, chacun peut agir sur l’information, telle était l’utopie du net en 1995.
Mais comme son nom le précise ce projet idéaliste n’était pas réalisable dans la vraie vie! Et c’est ce qui s’est passé, car malgré la multiplication des blogs, qui pourraient donner l’illusion de l’égalité devant l’écran, aucune égalité n’existe, puisque seuls les plus aisés financièrement peuvent accéder à Internet. De plus, l’information en ligne n’est pas aussi instructive que ce qu’elle paraît : seule la moitié (en étant généreux!) des sites, blogs, et autres sources d’informations en ligne, est de l’information effective. Je veux dire par là, que seule la moitié du contenu mis en ligne est de source sûre.

Les journalistes peuvent encore croire à cette incroyable idée, pour ma part, je n’y crois absolument pas : les riches ont un accès plus facile, ont une éducation plus élevée (généralement), tout ça entraîne forcément une vision différente de l’information. Les différences de la vie quotidienne restent des différences sur Internet! Chacun, avec son bagage intellectuel et culturel, voit l’information de façon différente : faut-il encore être capable de faire la différence entre de l’information et de la désinformation pour être égaux devant le web…

mercredi 17 octobre 2007

sens sur !

Les différentes formes de censure dans les médias. Je voudrais faire un rappel sur la censure. Elle connu différents stades au fil de l’histoire. La « censure légale » était celle de l’Etat, il établissait le sommaire du journal télévisé, filtrait les images et informations, il interdisait la publication d’ouvrages un peu trop gênants…etc.
Puis, petit à petit, elle a changé, en plus des limites naturelles comme l’atteinte à la vie privée ou bien la protection de l’enfance, s’est fixée une nouvelle forme de censure moins évidente.
La censure économique est une autre forme de censure. Dans notre monde, elle se traduit par ce qu’on appelle la « théorie de l’agenda » . Les médias choisissent de quoi ils vont parler, et donc de quoi vous allez parler, en occultant les sujets délicats en contre-partie.
Pour expliquer cette censure économique, c’est simple. Nombreux sont les médias qui cherchent à ramener de l’argent pour atteindre une qualité de professionnalisme. C’est un objectif honorable mais qui peut pousser à des dérapages. La dépendance aux revenus fournis par les sponsors, c’est-à-dire la publicité, est un fléau qui touche la plupart des médias, le résultat n’est pas brillant on assiste dans beaucoup de cas à de la désinformation, dans les autres cas la publicité occupe tout l’espace consacré, théoriquement, à l’information (exemple dans la presse écrite).
Mais cette censure n’est pas la seule existante , l’auto-censure est tout aussi subtile et grave. Cette fois, ce sont les journalistes eux-mêmes qui s’imposent leurs propres limites. Il existe bel et bien une censure qui nous touche, pays par pays, culture par culture et dans n’importe quel médias que ce soit. Malgré tout le web semble être l’un des médias qui évite au mieux le problème de la dépendance économique : quelques sites résistent encore, mais avec le vote de la loi Fontaine on peut s’inquiéter sur l’avenir de la liberté de la presse en ligne.
"Je croirais vraiment à la liberté de la presse quand un journaliste pourra écrire ce qu’il pense vraiment de son journal, dans son journal."
Guy Bedos

vendredi 12 octobre 2007

Kicé Kiva payé ?

La presse en ligne était principalement payante jusqu’à quelques années en arrière. Depuis 2 ou 3 ans beaucoup de journaux en ligne sont tentés par mettre gratuitement en ligne l’ensemble de leurs publications. Depuis quelques mois seulement c’était le New York Times, puis celui d’un journal Chinois et il y a quelques jours c’était au tour d’un journal Luxembourgeois
On peut penser que c’est un manque à gagner pour eux, on verra plus tard que ce n’est pas le cas. En effet, de plus en plus de journaux en ligne s’approchent de cette gratuité, en mettant en ligne quelques articles en accès libre ces journaux tentent sans prendre de risques la gratuité et pourront plus tard s’ouvrir complètement à la gratuité. C’est notamment le cas du Financial Times
Les journaux en se mettant en ligne perdent peut-être l’argent que les lecteurs ne donneront pas pour acheter leur journal, mais comme les sites de la presse en ligne mettent aussi de la publicité en ligne (cf. article précédent) et par ce biais-là remporte aussi pas mal d’argent, comme les sites sont très visités la publicité à plus d’impact, et les contrats passés avec les éditeurs de sites misent donc sur la publicité pour combler le manque à gagner. "La presse en ligne tentée de passer du payant au gratuit"

mardi 9 octobre 2007

Kicé Kikontrol ?


Avec tout ce qui circule sur Internet, la question du contrôle parental est importante. En effet, comment épragner les plus jeunes des images crues mises en ligne, des vidéos et autres pouvant les mettre en danger?
On connait tous les petits logos en bas à droite de nos petits écrans télévisuels, sur Internetdes outils spécifiques existent : "parental filtrer", "optenet web filtrer"...
Malgré toutes ces précautions ( à prendre) les parents doivent rester attentifs car les adolescent et les enfants n'ont pas le recul nécessaire pour évaluer les intentions de leurs interlocuteurs, et les images exercent sur eux un choc plus important.
Alors restons vigilants...

la presse électronique, une presse non prescrite

Une loi qui avait été votée en avril 2004 suscite encore des polémiques : la loi Fontaine exclu la presse du champ d'application de la loi de 1881 sur la liberté de la presse (papier). On peut s'interroger sur la légitimité de cette loi relative à la liberté de la presse : peut-elle s'appliquer à la presse en ligne?
La loi originale qui détermine les droits de la presse fixe à trois mois la prescription d'un article. Hors, après de vives discussions entre le gouvernement et l'IRIS (Imaginons un Réseau Internet Solidaire), on s'est rendu compte que, pour un souci de pérénité de l'information en ligne cette loi n'est pas applicable à Internet. En effet, la presse en ligne est , théoriquement, accessible plus longtemps que la presse papier, théoriquement puisque la presse papier est malgré tout accessible par le biais des archives, et ce, même aprés les trois mois de prescription. On peut donc se demander quel est le fondement réel de la loi Fontaine. Finalement elle limite la liberté des éditeurs de presse numérique. Cette loi exerce sur les journalistes une auto-censure, par l'absence de prescription. Il est impossible pour eux d'écrire un article libre sous peine d'être potentiellement poursuivi pour propos diffamatoires sans aucun délai. Même si chacun doit être en soi responsable de ses actes, cette loi peut refroidir les ardeurs de certains...
La liberté n'est pas totale dans ce cas présent.
L'IRIS s'insurge de faire "deux poids, deux mesures" et de rompre ainsi l'équilibre obtenu entre les deux médias.
La véritable cause de cette loi, ne serait-elle pas de vouloir soulager les hébergeurs de sites d'une surveillance qui pèse trop lourd sur leurs épaules?

vendredi 28 septembre 2007

La presse en ligne pose plusieurs problèmes que j'essayerai d'éclaircir au fur et à mesure des journées qui passent. La presse internet est, et reste, une presse qui doit nous apporter une information juste et adaptée, on peut se demander si avec la presse en ligne le code de déontologie est respecté? L'information mise en ligne est-elle vraie?
Pour certains sites de journaux connus, la question ne se pose pas mais pour l'information mise en ligne par n'importe qu'elle personne sur n'importe quel site, la méfiance est de mise, et, hormis notre jugement personnel rien n'atteste la véracité des propos tenus.
Alors, restons sur nos gardes!