lundi 21 janvier 2008

c la fin






Dans ce blog j’ai tenté de parcourir les différentes facettes de l’actualité en ligne : les métiers de la presse en ligne et leurs contraintes, l’avenir du web, les différentes technologies pour accéder à l’information en ligne, les nouvelles lois sur l’écriture en ligne, sur la censure, les différents problèmes liés aux nouvelles technologies. J’ai aussi voulu tenir à jour « c koi lé niouzes ? » pour tenir au courant le lecteur de mon blog de ce qui se passe dans le milieu des nouvelles technologies. Cette chronique rédigé dans un format de brèves a permis, j’espère, aux lecteurs, de pouvoir choisir d’aller approfondir ou non le sujet tout en ayant une vision d’ensemble des nouveautés. J’ai essayé, en rédigeant mes articles, de garder un esprit critique sur la situation, mais quelques fois je n’ai pas pu m’empêcher de donner mon avis et mes interrogations. J’ai aussi voulu mettre des touches d’humour, notamment dans les titres et les images mis en ligne pour que le lecteur ne soit pas assommé par un « trop » d’informations, pour rendre plus attractif ce blog, j’espère avoir réussi ..?
Le seul regret que j’ai c’est que les lecteurs n’est pas plus interagi avec moi par le biais de commentaires j’aurai sans doute dû poser plus de questions pour l’inciter à me faire part de leurs avis.
Pour finir, je dirai que j’ai pris beaucoup de plaisir à tenir ce blog à jour chaque semaine, j’ai appris beaucoup sur les nouveautés et sur les lois qui sont exercées sur les nouvelles technologies. J’espère vous avoir apporté quelques informations que vous ignoriez, et que vous avez vous aussi pris plaisir à me lire.

dimanche 20 janvier 2008

New York Times en ligne




Dans le cadre de nos enseignements, un article nous est imposé, cela doit être la présentation d’un site écrit dans une langue étrangère en lien avec notre sujet de blog : j’ai décidé de vous présenter le site du « New York Times ».Depuis le début de ce blog je vous ai parlé de l’information en ligne, mais je n’avais pas jusque là décrit ces sites d’information : cela me paraissait évident que chacun de nous savait plus ou moins comment les sites des journaux se constituent. Cela dit, il est intéressant de voir la diversité des informations qui sont mises en ligne dans un journal comme celui-ci.
Il donne voir à l’internaute de nombreuses rubriques « World, US, N.Y/Region, Style, Business, Technology, Science, Health, Sports, Opinion, Arts, Style, Ravel » tout comme dans un journal papier. De même, de nombreuses images illustrent les informations traitées. En cliquant sur chacune des rubriques l’internaute arrive sur une page où tous les articles traitant du sujet sont regroupés, tout comme dans les pages « monde, France, économie, ou politique » des journaux papiers
Mais ce n’est pas seulement une reproduction du journal papier déjà existant. En effet, ce site offre de nombreuses rubriques qui n’existent pas sur le journal : « Home page, My times, Today’s paper, Vidéo most popular, Times topics ». De même un blog est à disposition des internautes... Une rubrique « my times » permet à chaque abonnés du journal en ligne de sélectionner au préalable les news qu’il veut lire, et ainsi éviter, les informations sans importance, par exemple l‘abonné pourra choisir la rubrique N.Y/Region, sports, et business si ce sont les rubriques qui l‘intéressent. De plus le site permet de visionner des vidéos, ce qui est totalement impossible dans un journal papier ! De même il permet de visionner directement la Une du journal avec tous les sujets abordés dans le journal qui sera dans les kiosques. Et un accès aux archives qui n’est pas possible dans un format papier.
Ce site très complet, nous donne une idée de la constitution et de la mise en page des sites de journaux en ligne et de ce qu’attend l’internaute de ces sites.

jeudi 17 janvier 2008

Keskel va devenir ?


La crise du papier
La presse papier est en crise, depuis quelques années : les journalistes sont un des métiers les plus touchés par le chômage, le nombre de périodiques ne cesse de diminuer, les frais de distribution et le prix du papier au contraire augmentent. Dans un contexte économique difficile, la généralisation de l’accès à internet aurait pu fragiliser davantage encore la presse écrite qui subit une baisse d’attractivité auprès des annonceurs publicitaires au profit de la télévision et de la radio et bientôt du web. Au lieu de cela, les patrons de presse ont eu l’intelligence de se tourner vers le web pour mieux rebondir.
De plus, les quelques nouveaux médias français exclusivement disponibles sur le web, se sont vite rendu compte qu’ils ne pouvaient concurrencer sérieusement l’expérience et les moyens de grands groupes de presse. Ils se sont donc immédiatement positionnés sur le créneau d’une " information pratique ", avec un contenu rédactionnel relativement réduit mais avec le développement de nombreux services aux internautes. Au contraire, la presse papier ne se servait d’Internet que pour archiver ses articles, puis peu à peu, la presse papier s’est ouverte à ce nouveau média, en créant des services qui gèrent uniquement le site web. Certains disent même que les journaux papiers mettent en ligne un scoop, sur un site gratuit, sans mettre le dossier complet, tout en renvoyant au papier qui traite le sujet de façon plus approfondie. C’est plus ou moins de la publicité que la presse a su mettre à son service tout en ne dépensant guère.


Bref, la presse en ligne et la presse papier collabore plus ou moins, nous le verrons dans un article qui suivra. Les deux médias s’entrecroisent, certains disent que la presse en ligne et le complément de la presse papier, et d’autres, au contraire, disent que la presse papier est le pendant de la presse en ligne.
Le cas des autres médias
La situation est différente en ce qui concerne les autres médias comme la télévision et la radio… La radio, on la disait morte par l’arrivée de la télévision, puis par l’arrivée du web, il n’en est rien… bien au contraire c’est la naissance de nouvelles radios et de télévisions indépendantes. Avec la colonisation du réseau hertzien par de grands groupes de radios commerciales, les " vraies " radios locales libres ont peu à peu disparues. Mais ce qui est intéressant c’est que le web a favorisé leur résurrection à la faveur de faibles coûts de mise en place.


En ce qui concerne les télévisions, le web est un très bon écran publicitaire, pour vendre à travers des sites leurs programmes. Mais il existe aussi des " web télé " qui se développent à grande vitesse, avec une prise de conscience plus politique et revendicatrice. Sous l’influence de l’Organisation Permanente des Médias Libres et de télévisions associatives indépendantes (Zalea TV, Sans Canal Fixe, L’oeil Electrique...), le développement de ces télévisions s’accompagnent d’une forte demande contestataire contre le monopole des télévisions commerciales telle que TF1, France 2 etc. En demandant bien sur une ouverture vers les télé associatives mais cet enthousiasme est malheureusement utopique, les techniques actuelles de retransmission ne sont pas au point : les fichiers vidéo, souvent très lourds ne sont pas correctement diffusables, en effet les images sont parfois trop petites, et trop souvent saccadées à cause d’un débit trop faible.




Bilan
Tous ces médias co-existent dans la sphère informative mais que vont devenir ces supports qui nous sont si familiers ? Que sera l’avenir de la presse quelle quelle soit : a quoi ressembleront nos journaux électroniques dans quelques années ? Comment fonctionneront-ils ? Comment s’en servira-t-on ? Et bien d’autres questions que tout un chacun à le droit, et même le devoir de se poser… La réponse dans quelques années !



L'arrivée d'Internet a drôlement facilité la vie de quiconque désire en apprendre davantage sur ses concurrents et sur leur environnement. On ne parle pas forcément ici d'espionnage, mais plutôt de savoir dénicher la bonne information au bon moment pour prendre les meilleures décisions. Mais attention : si vous pouvez réussir à percer les secrets d'une autre entreprise, l'inverse est aussi possible! Jusqu'où doit-on et peut-on- aller? Comment se protéger lorsu‘on est une entreprise ? Le vol d'information est-il une pratique courante ?
« Un bon expert en veille peut dénicher un nombre étonnant d'informations en exploitant à fond les sources disponibles et en poussant le plus loin possible les limites de la légalité », déclare M.Moaty, directeur d'un mastère spécialisé en intelligence, dans un article du 11 décembre dernier… D'où l'importance de tirer la sonnette d'alarme! «Plus que jamais, les entreprises doivent se montrer vigilantes face à l'information qu'elles-mêmes, leurs employés ou encore leurs partenaires d'affaires divulguent sur leur organisation, dans la vraie vie comme sur Internet (sites web, blogues, forums, réseaux virtuels, etc.). Certaines informations peuvent sembler anodines, mais ce sont l'analyse et la mise en parallèle de plusieurs données qui deviennent dangereuses». Certaines entreprises sont d'ailleurs passées maîtres dans l'art de tirer des informations à leurs concurrents. Un expert canadien en intelligence d'affaires, rapporte l'exemple d'une société qui s'est fait voler sa plate-forme technologique lors d'une foire commerciale. «Pour éviter une telle situation, les employés doivent savoir ce qu'ils peuvent livrer comme information et ce qui doit demeurer confidentiel», prévient l’expert. Ainsi, pour une entreprise, savoir bien communiquer devient de plus en plus stratégique… et complexe. Elle doit laisser juste assez d'informations importantes pour influencer son environnement en sa faveur, tout en se méfiant des gens mal intentionnés (concurrents, groupes d'influence, etc.).
Sans devenir paranoïaques, il est donc de plus en plus important pour les entreprises de savoir quelles informations circulent à leur propos sur Internet, dans les zones qu'elles contrôlent et dans celles sur lesquelles elles n'ont aucune emprise.

lundi 14 janvier 2008

clavier ésseulé...

Après la dédicace faite à un certain Nico, je souhaite aujourd'hui m'adresser à tous ceux qui ne se tiennent pas au courant de l'actualité en ligne, certes d'autres moyens existent pour s'informer...mais quel dommage d'acheter un ordinateur pour le laisser à l'abandon!!
(Cette dédicace pour Momo...)

l'e-signature



Dans le cadre d'une conférence de presse, qui s'est tenue il y a quelques jours à la Chambre de commerce du Luxembourg, le ministre de l’Économie et du Commerce extérieur Luxembourgeois et le ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative, ont annoncé l'introduction de la signature électronique dans des applications en ligne qui verront le jour au premier semestre 2008, dans le contexte de l'eGovernment.


Vous l'ignorez surement mais j'ai trouvé sur le net que la signature électronique est légale depuis la loi relative au commerce électronique du 14 août 2000. Pour ma part je me suis toujours interrogée sur la légitimité des signatures de pétition en ligne ? Est-ce la même chose ?




Peut-on alors envisagé que la signature, qui est quelque chose de particulièrement personnel se réduise en une signature virtuelle ? "On arrête pas le progrès", comme on dit, mais je me pose tout de même des questions : n'y aura-til pas des abus (malgrè un système bien étudié), des faux ont plus de chance de circuler si l'e-signature se voit popularisée, non ? Qu'en pensez-vous ? Donnez-moi votre avis, car beaucoup de questions me parcourent l'esprit.

c koi lé niouzes ?


Un millier d'abonnements pour Les Echos version E-Paper, c'était jeudi sur la presse en ligne, le directeur des Echos, en version électronique, annonçait que le cap des 1000 abonnés à l'e-paper venait d'être franchi. Plutôt fier de cette nouvelle, le directeur compte bien continuer à mettre en avant l'e-paper en 2008. Les médias et le monde économique juge ce chiffre "modeste". Quoi qu'on en pense les Echos ouvrira son kiosque électronique aux quotidiens régionnaux et nationnaux.
Depuis deux jours un nouveau réseau en espagnol de CNW cible 41 millions d'Américains. En effet, le Canada a une population de 33 millions de personnes, les Hispanophones sont le cinquième groupe linguistique du pays. Pas étonnant que la principale entreprise canadienne spécialisée dans les services de distribution de communiqués et d'information destinés aux spécialistes des communication s'intéresse à ce groupe linguistique en offrant à ses clients Américains, le moyen de toucher une population Hispanique en perpétuelle croissance aux Etats-Unis.
Quelle capitale européenne bénéficiera la première du très haut débit? Paris ou Berlin, peut-être Milan, sûrement pas Londres. BT a annoncé en fin de semaine dernière que sa filiale "Open Reach" allait lancer en août un test d'accès à l'Internet très haut débit pour 10.000 foyers à Ebbsfleet,... Tout le monde se targue d'avoir bientôt le très haut débit par fibre optique : "bientôt dans six villes françaises"...reste à savoir qui remportera cette innovation technologique!
Ce sera tout pour aujourd'hui...