mercredi 31 octobre 2007

nouvométié, kècecé ?



L'ère d’Internet a biensûr créé de nouveaux métiers ,ou plutôt modifié les métiers déjà existants pour qu’ils soient plus adaptés à ce nouveau média. Le journaliste en ligne, celui qui correspond au journaliste de la presse écrite, ou « rédacteur on-line » doit être un professionnel de l’écriture concise, rapide. Il doit se nourrir de différentes sources diffusées sur le net. Le travail du journaliste en ligne est un travail de rédaction dans des délais très courts, ce qui semble être la principale contrainte de ce métiers « faudrait quasiment que leurs reportages soient en ligne avant que la nouvelle survienne » . Le journaliste de notre futur doit parfaitement maîtriser ce nouvel outil qu’est le web.
L’information circule de plus en plus rapidement avec l’outil informatique, le webreporter doit être encore plus réactif que le « journaliste papier » car la concurrence est présente avec la réactivité de certains blondeur par exemple. Les avantages de ce métier : il est en plein développement puisque les sites informationnels fleurissent, aussi les débouchés sont nombreux, et ceux, dans différents domaines : sport, actualités, culture.
D’autres métiers existent : le vidéo reporter, sur le net biensur ! Là encore c’est la rapidité de transmission de l’information qui est valorisée. Le vidéo reporter est beaucoup plus mobile que le rédacteur on line. Pourtant, dans le milieu journalistique, les journalistes mobiles sont loin d'avoir fait l'unanimité, souvent mal considérés ou ignorés par leurs supérieurs dans les rédactions, il semble que cette idée soit en train d’évoluer puisque sur le web ce métier devient de plus en plus important.
Un reporter mobile britannique avec un an de métier nous livre ses 10 conseils pour bien exercer ce métier.
Cette carte représente la couverture du réseau Internet et de la densité par départements

télécharger n'est pas pirater ?



Le piratage est le fait d’une société qui se numérise, il existe sous plusieurs formes. Le piratage institutionnel pose problème aux gouvernements, leur système semble avoir des failles http://technaute.cyberpresse.ca/nouvelles/texte_complet.php?
Il me semble pourtant qu’un gouvernement est à même de s’équiper de matériel et de personnes compétentes pour protéger les données de l’État. La seule explication serait donc que malgré les précautions prises, il existe toujours des individus capables de passer au travers des mailles de sécurité des gouvernements, et par conséquent témoignent de leur mauvaises intentions puisque la sécurité Étatique est difficile à violer.
Internet devient une menace pour les maisons d’éditions (livres, revues, journaux, musique…) avec le téléchargement tout devient alors plus complexe pour les éditeurs, et plus simple pour le lecteur. La perte considérable que subissent les fournisseurs de culture en ligne à cause du téléchargement est très peu compensée par les frais d’accès aux réseaux, et on se demande comment les éditeurs peuvent survivre depuis qu’Internet à envahi nos domiciles. Tout est plus simple pour le lecteur qui, après avoir réglé les frais d’accès (ou pas), pourra obtenir en quelques clicks la musique ou le film qu’il souhaite. Il faut aussi envisager le fait que des individus mal intentionnés peuvent télécharger à outrance et revendre leurs téléchargements ce qui augmente encore la perte des éditeurs.
Le téléchargement nuit aux maisons d’édition, aux maisons de disques, et donc aux artistes…etc. la véritable question est de savoir comment arrêter ce fléau, faut-il interdire le téléchargement gratuit ?

mercredi 24 octobre 2007

L'avancée technologique selon Mr Chirac

Kècecé Keça ?

Egaux ou pas ?

Il y a une quinzaine d’années l’ère Internet devait mettre tout le monde à égalité, puisque chacun devient émetteur d’une information et ne subit plus l’information, chacun peut agir sur l’information, telle était l’utopie du net en 1995.
Mais comme son nom le précise ce projet idéaliste n’était pas réalisable dans la vraie vie! Et c’est ce qui s’est passé, car malgré la multiplication des blogs, qui pourraient donner l’illusion de l’égalité devant l’écran, aucune égalité n’existe, puisque seuls les plus aisés financièrement peuvent accéder à Internet. De plus, l’information en ligne n’est pas aussi instructive que ce qu’elle paraît : seule la moitié (en étant généreux!) des sites, blogs, et autres sources d’informations en ligne, est de l’information effective. Je veux dire par là, que seule la moitié du contenu mis en ligne est de source sûre.

Les journalistes peuvent encore croire à cette incroyable idée, pour ma part, je n’y crois absolument pas : les riches ont un accès plus facile, ont une éducation plus élevée (généralement), tout ça entraîne forcément une vision différente de l’information. Les différences de la vie quotidienne restent des différences sur Internet! Chacun, avec son bagage intellectuel et culturel, voit l’information de façon différente : faut-il encore être capable de faire la différence entre de l’information et de la désinformation pour être égaux devant le web…

Radio.com



J’ai découvert il y a peu, une radio, quoi de plus banal me diriez vous ? Il s’agit ici d’une radio spécifique : Arté radio, une radio en ligne qui favorise les créations sonores ou radiophoniques. Elle existe depuis 2002, et touche les 15-35 ans ce qui, en soi, n’est pas très étonnant puisque l’outil Internet est principalement utilisé par cette tranche d’âge. Mais cette radio en ligne comporte bien d’autres spécificités qui devraient exclure cette tranche d’âge : elle est unique en son genre, car elle propose des centaines de reportages et créations sonores assez originaux, c’est de l’art sonore contemporain qui est mis en ligne et non de la musique comme on la connaît. En effet, elle se veut non publicitaire et non commerciale dans ce qu’elle diffuse : des courts-métrages audio élaborés par des auteurs méconnus, comme par exemple des documentaires créatifs et émouvants (drôles, tristes…). Elle propose des centaines de reportages et créations sonores à écouter à volonté. Cette radio est le fruit d’Arté, ou la 5ème chaîne télévisuelle.
C’est une radio « à la demande », ce n’est pas un flux sonore en ruban qui est diffusé comme sur les radios « ordinaires » mais offre des liens vers les différents sons. Chacun prend les reportages qu’il souhaite et ne subit pas l’écoute de 3 émissions pour accéder à celle qu’il veut écouter. Tous les contenus sont écoutables en MP3 avec une qualité de son avec Créative Commons. De plus, elle laisse accès aux auditeurs de créer leurs propres sons, chacun estran acteur de cette banque de sons.
Cette radio me fait reconsidérer la place du son dans la presse en ligne, je le croyais écarté de la presse en ligne mais j’avais oublié que les radios mettent elles aussi leur contenus en ligne.
Cette radio assez « marginale » dans le bon sens du terme, semble être en perpétuelle évolution, ses auditeurs se multiplient, allez y faire un tour, juste pour vous faire une opinion…

vendredi 19 octobre 2007


L’anonymat sur Internet est omniprésent, il permet une liberté de parole qu’elle soit privée ou publique, même si chacun doit connaître les limites de cette liberté.

Keskon pe fèr ?


La presse en ligne remplit plusieurs rôles : celui de soutenir une campagne politique
On peut le voir aussi dans l’article suivant
Dans ce cas les blogs semblent être un excellent outil de militantisme, le seul problème c’est que des informations erronées peuvent y apparaître, ce qui d’ailleurs relance la question du code de déontologie qui est connu par les journalistes mais qui est souvent méconnu des particuliers. La presse numérique peut aussi soutenir les gouvernements à gérer les problèmes dans cet article on voit que la presse numérique peut servir à surveiller le terrorisme et peut-être même à démanteler des réseaux au sein de l’Union Européenne.
La presse numérique remplit beaucoup d’autres rôles comme la promotion de films, la mise en ligne de lectures : l’information au sens large.

AIPU, Ko ça a fé?


L’AIPU est une association de membres de l’enseignement supérieur qui mettent en place des normes de la pédagogie, organisée en conseil d’administration, elle essaie d’améliorer le niveau de formation. Cette association est internationale, et tente de mettre en place un réseau de colloques et d’information pour que chaque continents (Afrique, Amérique et Europe) puisse savoir ce qui se fait en matière de technologies et ce qui devrait être fait. Il faut prendre en compte ici la place de la presse écrite dans cette initiative; elle participe largement à la collaboration entre les différents membres dans les divers pays et continents, notamment sur les nouvelles choses qui sont faites dans le domaine de la pédagogie, mais aussi pour mettre en ligne la présence de colloques, et surtout pour communiquer au grand public ce qui est dit et fait par l’Association Internationale pour la Pédagogie Universitaire, et de ce qu’elle souhaiterai voir changer.
Un de leur moyens de promouvoir la pédagogie est de favoriser la coopération inter universitaire par le biais d’échanges personnels, cette idée est intéressante pour nous puisque le blog peut être un de ces moyens de communication interpersonnelle. Dans ce cadre le blog peut effectivement intervenir puisque c’est un moyen très personnel de communiquer. Un blog peut se consulter depuis chaque coin de la planète ce qui faciliterai la liaison inter continentale. De plus un blog s’axe généralement sur un thème particulier : qui serait dans ce cas, les colloques (en faisant des résumés, de l’information…), la formation des enseignants, ou la pédagogie. Ce moyen de communiquer pourrait même s’élargir aux élèves qui auraient une vision plus complète de l’enseignement, à la fois depuis leur place d’étudiants mais aussi depuis la place de leurs professeurs

mercredi 17 octobre 2007

sens sur !

Les différentes formes de censure dans les médias. Je voudrais faire un rappel sur la censure. Elle connu différents stades au fil de l’histoire. La « censure légale » était celle de l’Etat, il établissait le sommaire du journal télévisé, filtrait les images et informations, il interdisait la publication d’ouvrages un peu trop gênants…etc.
Puis, petit à petit, elle a changé, en plus des limites naturelles comme l’atteinte à la vie privée ou bien la protection de l’enfance, s’est fixée une nouvelle forme de censure moins évidente.
La censure économique est une autre forme de censure. Dans notre monde, elle se traduit par ce qu’on appelle la « théorie de l’agenda » . Les médias choisissent de quoi ils vont parler, et donc de quoi vous allez parler, en occultant les sujets délicats en contre-partie.
Pour expliquer cette censure économique, c’est simple. Nombreux sont les médias qui cherchent à ramener de l’argent pour atteindre une qualité de professionnalisme. C’est un objectif honorable mais qui peut pousser à des dérapages. La dépendance aux revenus fournis par les sponsors, c’est-à-dire la publicité, est un fléau qui touche la plupart des médias, le résultat n’est pas brillant on assiste dans beaucoup de cas à de la désinformation, dans les autres cas la publicité occupe tout l’espace consacré, théoriquement, à l’information (exemple dans la presse écrite).
Mais cette censure n’est pas la seule existante , l’auto-censure est tout aussi subtile et grave. Cette fois, ce sont les journalistes eux-mêmes qui s’imposent leurs propres limites. Il existe bel et bien une censure qui nous touche, pays par pays, culture par culture et dans n’importe quel médias que ce soit. Malgré tout le web semble être l’un des médias qui évite au mieux le problème de la dépendance économique : quelques sites résistent encore, mais avec le vote de la loi Fontaine on peut s’inquiéter sur l’avenir de la liberté de la presse en ligne.
"Je croirais vraiment à la liberté de la presse quand un journaliste pourra écrire ce qu’il pense vraiment de son journal, dans son journal."
Guy Bedos

mardi 16 octobre 2007

Géo lance le webreportage



Il y a 3 jours Géo, le magazine géographique lançait un site internet toujours en relation avec l'aspect international du magazine mais dans un concept différent. il s'agit de se diriger davantage vers le journalisme d'actualité, ce qui apparaît être totalement différent du mensuel qui était plus axé vers des reportages hors cadre. ce qui est intéressant ici, c'est de voir la diversification du magazine, qui mettra en ligne des reportages visiblement plus attractifs, avec des vidéos...
En plus de ça geomagazine permettra de traiter des sujets d'actualité pas forcément traités dans les journaux quotidiens (en ligne ou non), ce qui étend encore le champ du lecteur dans sa vision de l'actualité. Ce magazine se base sur un bon concept : tous les articles ou vidéos seront articulé avec d'autres rubriquesce qui implique une vision complète de l'information. Cette ouverture à "l'information pure" me semble très positive, tout d'abord parce que Géo se donne les moyens en publiant chaque semaines un article (actualité plus précise que sur un mois), mais aussi car ses journalistes sont spécialistes des pays étrangers et seront donc les meilleurs (en théorie) pour traiter un sujet à l'étranger!(qu'il soit politique, économique, social, ...etc.)
Je m'interroge cependant sur la consultation réelle de ce site, puisque la réputation de Géo est un peu grisée par son inactivité dans l'actualité, dans l'esprit des gens c'est un mensuel, donc par définition par très à jour de l'information!

A pu d'sous!


Aujourd'hui, on apprend que le Monde informatique n'est pas aussi en forme que ça.
Dans cet article on se rend compte que la gratuité porte préjudice à l'information et aux journalistes. Les groupes dégringolent, se rachètent entre eux et finissent par se doter de logiciels de téléchargement ou autre service pour pouvoir survivre, ce qui est impensable pour une presse dite libre, c'est le summum de l'aliénation être obligé de mettre en ligne des services pour pouvoir continuer à faire son métier!
Internet a profondément modifié le monde journalistique : en annulant la compétitivité pour un scoop, puisqu'Internet est toujours (ou presque) plus rapide qu'un autre média. Le problème des droits d'auteur est aussi remis en cause, puisque tout un chacun oublie vite l'écrit original, et le remanie à sa façon à torts et à travers.
Cette crise va-t-elle se résolver sans que l'information en souffre ? On peut craindre que ce ne sera pas le cas, puisque depuis la nuit des temps la presse est sous l'influence de la censure de l'Etat, de la dépendance à la publicité...etc.

vendredi 12 octobre 2007

Kicé Kiva payé ?

La presse en ligne était principalement payante jusqu’à quelques années en arrière. Depuis 2 ou 3 ans beaucoup de journaux en ligne sont tentés par mettre gratuitement en ligne l’ensemble de leurs publications. Depuis quelques mois seulement c’était le New York Times, puis celui d’un journal Chinois et il y a quelques jours c’était au tour d’un journal Luxembourgeois
On peut penser que c’est un manque à gagner pour eux, on verra plus tard que ce n’est pas le cas. En effet, de plus en plus de journaux en ligne s’approchent de cette gratuité, en mettant en ligne quelques articles en accès libre ces journaux tentent sans prendre de risques la gratuité et pourront plus tard s’ouvrir complètement à la gratuité. C’est notamment le cas du Financial Times
Les journaux en se mettant en ligne perdent peut-être l’argent que les lecteurs ne donneront pas pour acheter leur journal, mais comme les sites de la presse en ligne mettent aussi de la publicité en ligne (cf. article précédent) et par ce biais-là remporte aussi pas mal d’argent, comme les sites sont très visités la publicité à plus d’impact, et les contrats passés avec les éditeurs de sites misent donc sur la publicité pour combler le manque à gagner. "La presse en ligne tentée de passer du payant au gratuit"

c koi lé niouzes ?


L’association de TF1.fr avec ViaPresse le 3 octobre 2007.Huitimème site français avec 9,4 millions de visiteurs uniques en août (source NNR), TF1.fr a décidé de s'associer à ViaPresse.com, un kiosque électronique permettant de s'abonner à plus de 500 publications.

mercredi 10 octobre 2007

hè r'cule ?



Sur cet article anglais, on peut voir que la presse en ligne n’est pas aussi moderne qu’elle veut paraître : la presse électronique se veut être une avancée technologique . Mais malgré tous ces avantages que représentent l’absence de papier, l’accès facile depuis n’importe quel endroit… , la presse numérique continue d’avoir recours au support papier : en imprimant sur leur lectorat par le biais de mails,... La presse en ligne est utilisée pour les gros volumes d’impression comme les journaux… Finalement, on peut s’interroger sur l’avancée de la numérisation de la presse, puisqu’elle se rattache à la presse écrite en imprimant toutes sortes d’articles. La presse en ligne n’est-elle pas finalement en retard par rapport à ce qu’elle prétend être?

mardi 9 octobre 2007

Kicé Kikontrol ?


Avec tout ce qui circule sur Internet, la question du contrôle parental est importante. En effet, comment épragner les plus jeunes des images crues mises en ligne, des vidéos et autres pouvant les mettre en danger?
On connait tous les petits logos en bas à droite de nos petits écrans télévisuels, sur Internetdes outils spécifiques existent : "parental filtrer", "optenet web filtrer"...
Malgré toutes ces précautions ( à prendre) les parents doivent rester attentifs car les adolescent et les enfants n'ont pas le recul nécessaire pour évaluer les intentions de leurs interlocuteurs, et les images exercent sur eux un choc plus important.
Alors restons vigilants...

la presse électronique, une presse non prescrite

Une loi qui avait été votée en avril 2004 suscite encore des polémiques : la loi Fontaine exclu la presse du champ d'application de la loi de 1881 sur la liberté de la presse (papier). On peut s'interroger sur la légitimité de cette loi relative à la liberté de la presse : peut-elle s'appliquer à la presse en ligne?
La loi originale qui détermine les droits de la presse fixe à trois mois la prescription d'un article. Hors, après de vives discussions entre le gouvernement et l'IRIS (Imaginons un Réseau Internet Solidaire), on s'est rendu compte que, pour un souci de pérénité de l'information en ligne cette loi n'est pas applicable à Internet. En effet, la presse en ligne est , théoriquement, accessible plus longtemps que la presse papier, théoriquement puisque la presse papier est malgré tout accessible par le biais des archives, et ce, même aprés les trois mois de prescription. On peut donc se demander quel est le fondement réel de la loi Fontaine. Finalement elle limite la liberté des éditeurs de presse numérique. Cette loi exerce sur les journalistes une auto-censure, par l'absence de prescription. Il est impossible pour eux d'écrire un article libre sous peine d'être potentiellement poursuivi pour propos diffamatoires sans aucun délai. Même si chacun doit être en soi responsable de ses actes, cette loi peut refroidir les ardeurs de certains...
La liberté n'est pas totale dans ce cas présent.
L'IRIS s'insurge de faire "deux poids, deux mesures" et de rompre ainsi l'équilibre obtenu entre les deux médias.
La véritable cause de cette loi, ne serait-elle pas de vouloir soulager les hébergeurs de sites d'une surveillance qui pèse trop lourd sur leurs épaules?

jeudi 4 octobre 2007

keske cé vague

La presse électronique est plus complète qu'un simple journal quotidien et est plus rapidement accessible. On peut accéder en quelques clicks à un large pannel informatif, on parle d'immédiateté de la transmission informationnelle. La presse écrite s'est fait devancée par la radio et la télévision sur ce critère précis, on a longtemps reproché à la presse papier de ne pas être dans l'immédiateté. La presse électronique, au contraire se qualifie par son immédaiteté, elle est plus encore qu'un autre média dans l'actualité. Revoyons une notion de communication : le mot média vient d'intermédiaire : qui doit être aussi immédiat que possible, c'est bien là la définition de la presse en ligne, qui est un intermédiaire rapide entre actualité et lecteur. Malgré tous ces avantages , plusieurs questions restent posées, à savoir la véracité des informations transmises, le pannel tropétendu pour être correctement utilisé..?
La presse numérique nous donne accés à diverses données : actualités, sport, culture, presse économique, people... Avec la multiplication des sites on pourrait croire que chacun y trouve son compte. Il n'en est rien, les sites entrent en concurrence tout comme les journaux papier. Nous savons tous de par notre expérience que la consultation internet n'est pas le fait du hasard, mais elle correspond à des réflexes, des habitudes. Nous consultons automatiquement et par goût le site du Monde plutôt que celui de la Dépêche du Midi...Tout comme dans la presse écrite, le choix des sites ne fait que renforcer la concurrence dans la presse électronique.Mais, au final, le nombre de sites ne fait pas l'information, puisque le lecteur ira consulter toujours le même type de sites.

Pour information, les sites les plus visités sont ceux des services et des actualités (à savoir : la météo, les actualités générales, et le sport en priorité)

mardi 2 octobre 2007

kicéki gagne?


Historique

La presse écrite est née d’une nouvelle technologie: l‘imprimerie, mise au point par J.Gutenberg en 1440 aussi appelée typographie . L’impression de milliers de pages par heure a été possible par une modernisation de la presse en 1812; elle permis ainsi aux entrepreneurs de diffuser, sur un support papier, des contenus d’actualité à une audience « de masse » . Près de deux siècles plus tard, d’autres supports de diffusion ont fait leur apparition, diminuant à chaque fois le monopole sur l’actualité que la presse avait acquis à la fin du 19ème siècle. Au cours du vingtième siècle, la radio et la télévision ont profondément modifié le rôle et l’influence exercée par les journaux sans que ceux-ci n’aient investi ces nouveaux modes de diffusion. En effet la presse papier n’a pas cru bon, s’intéresser à la radio, ou à la télévision lorsque ces nouveaux médias apparurent. Mais dans les années 1990 un nouveau média va s’imposer aux masses : internet ou le web.
Cette fois, la presse a été parmi les premiers à s’intéresser à la nouveauté, les journaux ouvrent des sites avant la plupart des autres médias, voire avant les autres industries. Cette avancée de la presse sur le terrain des nouveaux médias suit une logique ancienne, amorcée avec le passage au numérique de la plupart des rédactions. Les journaux, plus habitués au travail sur ordinateur, avaient ainsi plus d’expérience pour développer des activités sur internet, ce qui leur a permis de prendre une avance de plusieurs années sur les stations radio et, surtout, sur les chaînes de télévision rééquilibrant à nouveau la concurrence entre les différents médias.
Pourtant, en se lançant sur le web, les journaux n’ont pas eu les bouleversements qu’ils attendaient. D’un point de vue économique le web est souvent incompatible avec les anciennes stratégies des journaux papiers. Internet n’a pas fait qu’ébranler les fondements du modèle économique de la presse traditionnelle, il a redéfini la notion-même de journalisme : l’interactivité et l’accessibilité toujours plus grandes, rendues possibles par le réseau instantané rapprochent la distribution d’information d’un dialogue, quand la presse était habituée à diffuser en sens unique sur le papier (le courrier des lecteurs était présent mais était trop lent pour être effectif ).

La presse électronique est-elle une menace pour la presse papier?

La presse est dépassée, malgré ses évolutions, elle semble s’être contentée d’une présence minime sur le web, incertaine sur le comportement à adopter et sur les conséquences pouvant être engendrées par ses investissements en ligne.
Les sites de presse, qui disposaient du monopole sur l’actualité en ligne, se sont aujourd’hui fait doubler par les télévisions et par les sites d’actualité qui diffusent uniquement sur internet. Pour suivre l’évolution de la situation, les consommateurs se sont donc tournés vers leurs ordinateurs connectés à internet et leurs téléphones mobiles équipés du WAP ( Wireless Application Protocol). Des journaux, comme le Monde, ont essayé de retourner la situation à leur avantage, en offrant aux journalistes un espace où s’exprimer, mais aussi en recherchant des témoins et réactions des lecteurs par le biais de blogs. Malgré tous ses efforts, la presse a perdu le monopole qu’elle avait su acquérir dans les années 1990 au tout début d’Internet.

carte des sièges des journaux Français


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Ceci n'est qu'un petit aperçu, puisque les journaux, quotidiens, gratuits ou non, magasines, ... sont inombrables...j'ai pris en compte, que la presse d'actualité générale.

vidéo


C'est quand même mieux quand ça marche!!